janvier 2009 (25)
vendredi 30 janvier 2009
CET ÉTÉ PLEIN DE FLEURS (40)
vendredi 30 janvier 2009.
Prochainement édité par les éditions de L'Harmattan dans la collection « Ecritures », ce 12ème opus devrait sortir fin janvier 2009.
En attendant, partons sans plus attendre - et en avant-première - à la découverte de ce petit Paul de Montclairgeau durant les deux dernières années de sa vie, dans son Jura natal et à Paris ou il dépérit, ce jeune homme qui est si touchant, si contemporain, si rimbaldien, si agaçant aussi… et qui ressemble à l'auteur comme un frère… forcément ! Puisque c'est ma propre adolescence que je réécris à titre posthume en y injectant ma fièvre et mes utopies de jeune homme prolongé et de moins en moins mûr (mais je préfère être immature tardif que prématurément blet!).
Embarquons donc pour cette Chronique d'une mélancolie, en se remémorant chaque fois les deux citations en exergue de l'œuvre et qui, dès le porche, l'éclairent :
On ne peint bien que son propre cœur, en l'attribuant à un autre.
CHATEAUBRIAND
Ah ! l'égoïsme infini de l'adolescence, l'optimisme studieux : que le monde était plein de fleurs cet été ! Les airs et les formes mourant… - Un chœur, pour calmer l'impuissance et l'absence ! Un chœur de verres, de mélodies nocturnes… En effet les nerfs vont vite chasser.
RIMBAUD
jeudi 29 janvier 2009
NICOLAS 1ER LE PETIT
jeudi 29 janvier 2009.
Mais à part la tête, quoi d'autre ? Ceci : pour incarner la France, il faut aussi un corps, une stature, une aura. Car le corps ne ment pas, ni les yeux, ni la bouche, ni la voix, ni les mimiques, ni la taille, ni le port ni la marche ni le geste. " Aucun mortel ne peut garder un secret - disait Freud - si les lèvres restent silencieuses, ce sont les doigts qui parlent. "
Les promesses électorales ont passé, ont lassé, ont trépassé… Le corps-président s'est incrusté ad nauseam mais aujourd'hui il est usé ; l'emblème quinquennal demeure : c'est aujourd'hui un leurre. Car le corps ne ment pas, ne biaise ni ne camoufle, le naturel chassé rapplique au galop et rattrape l'Egoprésident. Ce « Bonaparte apocryphe » - comme l'appelait Victor Hugo - peut bien proclamer urbi et orbi qu'il a changé, change et encore changera tout en invoquant les mânes des plus grandes pointures, de Blum à Luther King, de Jaurès à Benoît XVI (!) ; il peut bien, après avoir cru incarner l'Europe et son destin, prétendre réformer le capitalisme mondial et vouloir à présent se mesurer à l'immense Obama ; il pourra bien demain enjoliver ses yeux, velouter son rictus, tempérer ses injures, réfréner ses spasmes, domestiquer ses tics, en fait il ne peut rien, il n'y peut mais, c'est injuste, je sais, irrationnel, primaire, sectaire de ma part, tout ce que tu voudras, mais « c'est » : en plus d'une tête, il faut un corps, une stature, une aura pour unifier la France.
Mais quelle France ? me diras-tu, ami(e) internaute ? Pour une France-Entreprise, un petit boss suffit et Sarko fait l'affaire. Mais s'il s'agit de notre République, une et solidaire, libre et démocratique, s'il y faut un leader, un garant, un symbole vivant, c'est surtout par défaut que s'impose le choix : ni roquet ni basset ni coquelet, fût-il gaulois !
Et maintenant, pour planer sur notre beau jeudi, place à un aigle : Hugo le Grand.
mercredi 28 janvier 2009
SUPERSTITION CRASSE
mercredi 28 janvier 2009.
P.S. Et pour me calmer les nerfs, je vais aller voir le film « Religolo », une œuvre de salubrité publique.
mardi 27 janvier 2009
LA SOLITUDE
mardi 27 janvier 2009.
Baudelaire parle aussi de « hideux trouble-fête ». Et si l'amoureux esseulé – ou dépité (voir mon blog du 13 janvier dernier) était pour l'Autre un fâcheux trouble-fête ?
dimanche 25 janvier 2009
BENOÎT XVI, “ UN AFFREUX VIEILLARD ”
dimanche 25 janvier 2009.
À propos de Golias, je réédite ici l'appel que j'ai déposé sur ce site ami et qui est particulièrement frappé par cette nouvelle infamie pontificale : « Je mets au défi tous les catholiques ulcérés et grugés par la décision anticonciliaire de Benoît XVI d'organiser sur la Place St Pierre un immense sit-in. Mais bien sûr les cathos n'auront jamais les couilles de battre le pavé ! cela se fait sur l'agora, pas en ecclesia. Tu n'y songes pas, ma chère, d'abord la charité et la prière ! Une fois de plus, on assistera à leur sempiternelle impuissance : protestations ici, jubilation là, messe d'action de grâce chez les uns, pétition pour les autres, débat ping-pong sur les sites, paroles, paroles ! Pendant ce temps, le monde peut crever… À force d'entendre proclamer qu'ils doivent se rassembler sous la houlette de leur Pasteur, les cathos sont devenus d'inoffensives agnelles qui se laissent tondre sans broncher. Le jour où tous les chrétiens floués de leur Evangile ressembleront enfin à de vigoureux béliers, ce jour-là, moi l'ex-curé fier et heureux d'avoir pris la fuite, je me sentirai encore des leurs et à nouveau au milieu d'eux, à Rome s'il le faut. »
“Paroles, Paroles” ai-je écrit… Heureusement qu'il nous reste Paroles de Prévert et la colère de cet immense Poète contre « le successeur de saint lance-Pierre et de saint lance-flammes ».
vendredi 23 janvier 2009
CET ÉTÉ PLEIN DE FLEURS (39)
vendredi 23 janvier 2009.
Prochainement édité par les éditions de L'Harmattan dans la collection « Ecritures », ce 12ème opus devrait sortir fin janvier 2009.
En attendant, partons sans plus attendre - et en avant-première - à la découverte de ce petit Paul de Montclairgeau durant les deux dernières années de sa vie, dans son Jura natal et à Paris ou il dépérit, ce jeune homme qui est si touchant, si contemporain, si rimbaldien, si agaçant aussi… et qui ressemble à l'auteur comme un frère… forcément ! Puisque c'est ma propre adolescence que je réécris à titre posthume en y injectant ma fièvre et mes utopies de jeune homme prolongé et de moins en moins mûr (mais je préfère être immature tardif que prématurément blet!).
Embarquons donc pour cette Chronique d'une mélancolie, en se remémorant chaque fois les deux citations en exergue de l'œuvre et qui, dès le porche, l'éclairent :
On ne peint bien que son propre cœur, en l'attribuant à un autre.
CHATEAUBRIAND
Ah ! l'égoïsme infini de l'adolescence, l'optimisme studieux : que le monde était plein de fleurs cet été ! Les airs et les formes mourant… - Un chœur, pour calmer l'impuissance et l'absence ! Un chœur de verres, de mélodies nocturnes… En effet les nerfs vont vite chasser.
RIMBAUD
jeudi 22 janvier 2009
NUIT DE NEIGE
jeudi 22 janvier 2009.
mercredi 21 janvier 2009
LES MÉDECINS DE L’AMOUR (3)
mercredi 21 janvier 2009.
Les “médecins de l'amour” existent depuis toujours, depuis que les hommes et les femmes connaissent les nombreuses difficultés de l'union amoureuse. Du chaman de la préhistoire aux prêtresses d'Ishtar, du poète Ovide à Léonard de Vinci, d'Ambroise Paré à Nicolas Venette, d'Havelock Ellis à Freud, à Masters & Johson… et à Brenot, ces médecins-là sondent les arcanes de l'âme pour en comprendre les plus intimes rouages et en soulager les blocages. Ils sont poètes, toubibs, anatomistes, psychologues… Ils ont été les pionniers de cette connaissance de la sexualité humaine, ils fondent nos idées dans ce domaine de l'intime et du secret qui est encore un tabou de nos sociétés alors que règne la misère sexuelle dans un désert éducationnel et une surenchère commerciale.
Vont donc défiler ici une quinzaine d'experts, chaque notice biographique étant suivie de brefs « morceaux choisis » que Philippe Brenot a nommés « documents de l'amour » (judicieusement traduits par lui en langage contemporain lorsque la langue est trop antique ou le jargon trop médical). Ces textes nous montreront toute la pré-science de ces hommes de connaissance, leur grande modernité ou encore la beauté de leur style littéraire.
Aujourd'hui le chirurgien Ambroise Paré.
mardi 20 janvier 2009
CHAMBRES AVEC VUE
mardi 20 janvier 2009.
lundi 19 janvier 2009
L’AUBE DE PALESTINE
lundi 19 janvier 2009.
dimanche 18 janvier 2009
L’OMNIPRÉSIDENT ET SON MINISTRE
dimanche 18 janvier 2009.
vendredi 16 janvier 2009
CET ÉTÉ PLEIN DE FLEURS (38)
vendredi 16 janvier 2009.
Prochainement édité par les éditions de L'Harmattan dans la collection « Ecritures », ce 12ème opus sortira courant janvier 2009.
En attendant, partons sans plus attendre - et en avant-première - à la découverte de ce petit Paul de Montclairgeau durant les deux dernières années de sa vie, dans son Jura natal et à Paris ou il dépérit, ce jeune homme qui est si touchant, si contemporain, si rimbaldien, si agaçant aussi… et qui ressemble à l'auteur comme un frère… forcément ! Puisque c'est ma propre adolescence que je réécris à titre posthume en y injectant ma fièvre et mes utopies de jeune homme prolongé et de moins en moins mûr (mais je préfère être immature tardif que prématurément blet!).
Embarquons donc pour cette Chronique d'une mélancolie, en se remémorant chaque fois les deux citations en exergue de l'œuvre et qui, dès le porche, l'éclairent :
On ne peint bien que son propre cœur, en l'attribuant à un autre.
CHATEAUBRIAND
Ah ! l'égoïsme infini de l'adolescence, l'optimisme studieux : que le monde était plein de fleurs cet été ! Les airs et les formes mourant… - Un chœur, pour calmer l'impuissance et l'absence ! Un chœur de verres, de mélodies nocturnes… En effet les nerfs vont vite chasser.
RIMBAUD
jeudi 15 janvier 2009
« QUEL DRÔLE DE BORDEL, CES CURÉS ! »
jeudi 15 janvier 2009.
mercredi 14 janvier 2009
L’HIVER DES ALPES
mercredi 14 janvier 2009.
mardi 13 janvier 2009
DÉPIT AMOUREUX
mardi 13 janvier 2009.
J'ai cherché dans la Littérature et j'ai fini par dénicher cette page très subtile de Diderot. Le hiatus est bel et bien là, la douleur rentrée (un tantinet rouée) chez l'une, la feinte naïveté chez l'autre. Jusqu'alors tout était merveilleux mais le ver était dans le fruit : le lien est désormais brisé et rien ne sera comme avant. Car l'incompatibilité, qu'on s'efforçait de voiler sous la routine rassurante, qu'on contournait par l'économie prudente du langage ou qu'on exaltait par le lyrisme fleuri (tout dépend des personnalités et surtout de l'époque), l'incompatibilité grotesque était bel est bien là - l'incontournable et cuisante dissymétrie : qu'est-ce qu'un marquis libertin peut attendre d'une veuve ulcérée ? Qu'est-ce qu'un pragmatique forcené peut comprendre d'un romantique invétéré ? Qu'est-ce qu'un amour à deux sous peut espérer du Temps qui le dissout ?
lundi 12 janvier 2009
ALCYON
lundi 12 janvier 2009.
vendredi 9 janvier 2009
CET ÉTÉ PLEIN DE FLEURS (37)
vendredi 9 janvier 2009.
Prochainement édité par les éditions de L'Harmattan dans la collection « Ecritures », ce 12ème opus sortira courant janvier 2009.
En attendant, partons sans plus attendre - et en avant-première - à la découverte de ce petit Paul de Montclairgeau durant les deux dernières années de sa vie, dans son Jura natal et à Paris ou il dépérit, ce jeune homme qui est si touchant, si contemporain, si rimbaldien, si agaçant aussi… et qui ressemble à l'auteur comme un frère… forcément ! Puisque c'est ma propre adolescence que je réécris à titre posthume en y injectant ma fièvre et mes utopies de jeune homme prolongé et de moins en moins mûr (mais je préfère être immature tardif que prématurément blet!).
Embarquons donc pour cette Chronique d'une mélancolie, en se remémorant chaque fois les deux citations en exergue de l'œuvre et qui, dès le porche, l'éclairent :
On ne peint bien que son propre cœur, en l'attribuant à un autre.
CHATEAUBRIAND
Ah ! l'égoïsme infini de l'adolescence, l'optimisme studieux : que le monde était plein de fleurs cet été ! Les airs et les formes mourant… - Un chœur, pour calmer l'impuissance et l'absence ! Un chœur de verres, de mélodies nocturnes… En effet les nerfs vont vite chasser.
RIMBAUD
jeudi 8 janvier 2009
CHASSE À L'ENFANT
jeudi 8 janvier 2009.
“ C'est la meute des honnêtes gens qui fait la chasse à l'enfant…”
mercredi 7 janvier 2009
« VOILÀ LES JUIFS QUE J’AIME… »
mercredi 7 janvier 2009.
J'écris ces mots au moment où l'opération « Plomb durci » fait des ravages à Gaza et me broie le cœur... même si la sentimentalité est tout à fait hors de saison. C'est plutôt la lucidité politique qu'il faut convoquer même si c'est moins télégénique que des musulmanes éplorées ou des mômes en charpie. Et du coup, trempée dans mes confortables larmes et dans le sang tout chaud de Gaza, après celui de Sabra et Chatila qui a si vite séché en entrant dans l'Histoire, ma plume retrouve toute la vigueur d'antan, mes doigts cliquettent rageusement sur le clavier comme une mitraillette qui n'est pas prête d'être enrayée. Car rien – pas même quelques roquettes artisanales, pas même le jusqu'auboutisme absurde du Hamas – rien ne justifie de la part d'un Etat démocratique une telle boucherie en territoire palestinien après des années et des années de mépris, de stratagème, de morcellement communautaire, de démembrement régional aux forts relents – c'est un comble ! – de purification ethnique inavouée. Complètement d'accord avec l'écrivain franco-libanais Dominique Eddé : « À force de traiter les Arabes par le mépris, à force de ne traiter qu'avec ceux d'entre eux qui sont à la botte, de leur extorquer concession sur concession, de jouer au plus fin, de préférer grignoter encore et toujours un territoire – un bout de Jérusalem par ci, un territoire par là – que gagnent les plus forts ? La rage du plus faible ? Sa défaite ? Pas seulement. (…) Pourquoi ne pas dire les choses simplement ? Si les Etats-Unis et Israël réunis n'ont pas réussi, à ce jour, à protéger l'avenir d'Israël, c'est que leur méthode n'est pas la bonne. » (in Le Monde du mardi 6 janvier).
Quant à mon Julius, qu'il ait tort ou raison, qu'il soit (comme c'est le cas ici) le porte-parole de l'auteur, ailleurs évidemment pas, ce personnage persiste et signe et il a de toutes façons raison car un artiste, partiel ou partial, est avant tout un homme libre.
mardi 6 janvier 2009
LESBOS, TERRE DES NUITS CHAUDES…
mardi 6 janvier 2009.
lundi 5 janvier 2009
HOMMAGE AU VIEUX SOLEIL
lundi 5 janvier 2009.
dimanche 4 janvier 2009
LA TROUILLE DES GRENOUILLES
dimanche 4 janvier 2009.
… pour en sortir avec le clin d'œil impromptu du fabuliste et sur l'écran le mot d'une amie fidèle m'offrant sur Internet sa fleur de gardénia ! Merci à Dame J***, merci à Maître Jean. Cette nuit, tout compte fait, n'a pas été aussi mauvaise… et il vaut mieux à présent sourire plutôt que gémir. Non pas détaler comme un pleutre mais reprendre le dur métier de vivre et affronter en foudre de guerre le 1er dimanche de l'an neuf.
samedi 3 janvier 2009
LE CUL DU BABOUIN
samedi 3 janvier 2009.
vendredi 2 janvier 2009
CET ÉTÉ PLEIN DE FLEURS (36)
vendredi 2 janvier 2009.
Prochainement édité par les éditions de L'Harmattan dans la collection « Ecritures », ce 12ème opus sortira début 2009.En attendant, partons sans plus attendre - et en avant-première - à la découverte de ce petit Paul de Montclairgeau durant les deux dernières années de sa vie, dans son Jura natal et à Paris ou il dépérit, ce jeune homme qui est si touchant, si contemporain, si rimbaldien, si agaçant aussi… et qui ressemble à l'auteur comme un frère… forcément ! Puisque c'est ma propre adolescence que je réécris à titre posthume en y injectant ma fièvre et mes utopies de jeune homme prolongé et de moins en moins mûr (mais je préfère être immature tardif que prématurément blet!).
Embarquons donc pour cette Chronique d'une mélancolie, en se remémorant chaque fois les deux citations en exergue de l'œuvre et qui, dès le porche, l'éclairent :
On ne peint bien que son propre cœur, en l'attribuant à un autre.
CHATEAUBRIAND
Ah ! l'égoïsme infini de l'adolescence, l'optimisme studieux : que le monde était plein de fleurs cet été ! Les airs et les formes mourant… - Un chœur, pour calmer l'impuissance et l'absence ! Un chœur de verres, de mélodies nocturnes… En effet les nerfs vont vite chasser.
RIMBAUD
jeudi 1 janvier 2009
30 VŒUX CITOYENS POUR 2009
jeudi 1 janvier 2009.
Pour commémorer son adoption, la « Journée des droits de l'homme » est célébrée chaque année le 10 décembre. Personnellement, je trouve que c'est encore mieux le 1er janvier. Y a-t-il des vœux plus urgents et plus sincères sinon moins réalistes ? Pour chaque peuple et pour chacun.
En résumé, tous mes vœux citoyens aux spermatozoïdes suicidaires, aux fœtus inconscients, aux bébés sans dents, aux mômes sans avenir, aux jeunes sans illusions, aux adultes sans mémoire, aux vieux sans humour, aux momies et à la première d'entre elles : Benedetto, 16ème du nom, aux homosexuels, aux hétérosexuels, aux transsexuels, aux métrosexuels, aux übersexuels, aux bisexuels, aux zérosexuels, aux smicards, aux taulards, aux banlieusards, aux RMIstes, aux chômeurs, aux femmes de détenus, aux SDF, aux clandestins, aux pique-niqueurs de Vincennes, aux glandeurs de Calais, au schizophrène de Gap (ouf ! dormez, bonnes gens, on vient de le retrouver grâce à Meuh-Meuh Roselyne !), aux urgentistes, aux autistes, aux infirmières, aux infirmiers (dont mon cher fils n°1), aux artistes (dont mon cher fils n°2 ; son site vaut le détour : http://art2moi.unblog.fr/ ), aux trisocomiques (dont mon cher fils n°3), aux salariées de la restauration (dont ma sublime et courageuse fille qui fêtera cette année ses 25 printemps), aux caissières d'hyper, aux classes populaires, aux amateurs de Prévert, aux syndicalistes, aux illusionnistes, aux socialistes, aux humoristes (dont l'indispensable Stéphane Guillon sur France Inter), aux sarkozystes, aux fumistes, aux papistes, aux royalistes, aux publicistes, aux traditionnalistes, aux futuristes, aux optimistes, aux pessimistes, aux nihilistes, aux fumeurs dans les lieux publics, aux emmerdeurs et aux perturbateurs, aux déconneurs et aux masturbateurs…et à chaque lectrice et lecteur de ce Blog qui n'a d'autre ambition que… d'exister depuis l'été 2006 jour après jour en étant plus détonateur que fédérateur et moins littéraire que libertaire !