À la fois honteuse et glorieuse, la sarkophobie est une tare tenace, une faille secrète, une maladie dégénérative dont je suis atteint depuis fort longtemps. Pour tenter d'expliquer mon mal – felix culpa disaient les Anciens –, avant même de décrire ses symptômes aussi peu ragoutants que les écrouelles du bon roi Louis, je tente d'abord une analogie qui pour moi est très parlante.