octobre 2006 (8)
lundi 23 octobre 2006
TEMPETE (MEDIATIQUE) DANS UN BENITIER
lundi 23 octobre 2006.
Que ton oui soit oui, que ton non soit non...
dimanche 22 octobre 2006
BAISE TRANSATLANTIQUE
dimanche 22 octobre 2006.
... car le virtuel - comme disait la grande Simone - n'est plus ce qu'il était !
jeudi 19 octobre 2006
LA B.A. de L'AB
jeudi 19 octobre 2006.
Rions, mes frères puisque le rire est le propre de l'Homme !
lundi 16 octobre 2006
HARMONIE DU SOIR
lundi 16 octobre 2006.
Ami(e) internaute, si loin, tout(e) proche, prends le temps de lire à mi-voix... avec moi...
vendredi 13 octobre 2006
BERCK-PLAGE
vendredi 13 octobre 2006.
Dimanche dernier, je pique-niquais...
mercredi 11 octobre 2006
"VIENS, LIBERE-MOI, BAISE-MOI..."
mercredi 11 octobre 2006.
Son corps livide est entravé de cordages blancs et sa queue, trop énorme pour être emprisonnée, jaillit d'un minislip de neige...
lundi 9 octobre 2006
UNE VOCATION MANQUEE (pas la mienne !)
lundi 9 octobre 2006.
Relisant ces jours-ci pour l'énième fois "Les mots" de Jean-Paul Sartre, toujours aussi ébloui et ému par le regard lucide porté sur son enfance et par son art consommé de la narration, je retrouve la page où le philosophe en herbe raconte la fin de sa liaison avec Dieu. Sur fond de tableau sociologique (la bourgeoisie anticléricale du début du XXème siècle), c'est à la fois grave et drôle, impitoyable et délectable, un mauvais exemple suivi d'une banale sottise enfantine. Mais le constat est là : la greffe n'a pas pris. Comme Sartre le dira un peu plus loin dans son livre : "Je viens de raconter l'histoire d'une vocation manquée : j'avais besoin de Dieu, on me le donna, je le reçus sans comprendre que je le cherchais. Faute de prendre racine en mon cœur, il a végété en moi quelque temps, puis il est mort." Décidément, plus que l'indifférence ou les outrances grotesques, ce sont les histoires d'amours déçues qui suscitent les rejets les plus radicaux !
lundi 2 octobre 2006
JUSTE AUJOURD'HUI
lundi 2 octobre 2006.
Aujourd'hui, jour de panne... Tristesse, désenchantement, insignifiance qui m'assiège. Un tel dégoût... de moi... des autres... de tout ! P'tit Rud m'envoie un courriel de réconfort : à lui aussi, il lui arrive d'avoir "ses règles" ! Et mon pote se moque souvent très gentiment de mes "migraines féminoïdes". Alors rien de grave : un seul jour... demain sera un "autre jour". C'est ce que dit ce poème minimaliste écrit il y a quelque temps, quand tout semblait déjà se débiner... et lâcher... juste aujourd'hui, juste quelques mots pour survivre.