Exprimez vous...
Commentaire - 1 :Trop cool ce site Internet ! Je me demande quel génie a réussit à faire cela en seulement un mois de travail !
Écrit par ptitrud le Lundi 21 Août 2006.
Commentaire - 2 :bravo petit bellin c'est un trés joli site!!! ...et deux visiteurs de plus qui l'auront découvert ! gros bisou on se rappelle !
Écrit par les chauba le Dimanche 03 Septembre 2006.
Commentaire - 3 :salu bellin....premier passage sur ton site ce soir...à première vue ça m'a l'air sympa!!!!en effet la fameuse foto du bas de biographie fait sourire...tu es en tout cas insolent de beauté sur ces fotos!!! j'ai pas le temps d'approfondir la découverte de ton site ni de lire ton journal pour l'instant....mais ça viendra!!! bravo en tout cas, c'est chouette!! (ps: j'ai pas vu ce qui concernait un public averti!!!!) bonne continuation, à bientot.
Écrit par la sylphid le Mardi 26 Septembre 2006.
Commentaire - 4 :Salutations antéchristes depuis libresansdieu.org Les extraits de Impotens deus m'ont un peu donné l'impression de lire mes propres pensées. Cordialement.
Écrit par Zafx le Vendredi 13 Octobre 2006.
Commentaire - 5 :De découverte en découverte!J'ai beaucoup apprécié ta biographie et apprend de plus en plus sur ce cher Bellin
Écrit par Isabelle le Lundi 08 Janvier 2007.
Commentaire - 6 :Cher Michel, Je ne sais pas si vous vous souvenez de moi… : j’étais le « jeune Espagnol » (catho !) venu à votre séance de dédicaces à la libraire Blue Book le mois dernier. J’ai lu votre dernier livre Impotens Deus avec intérêt… et comme vous m’avez suggéré que je vous donne mes impressions une fois ma lecture terminée, je vais essayer de vous satisfaire. Tout d’abord merci beaucoup pour l’effort que vous avez fourni pour nous donner une part de ce que vous aviez sur le cœur : je crois que cela vous a demandé beaucoup d’énergie (et que cela vous en demande encore aujourd’hui ! On ne sort pas indemne d’un tel écrit, sans nul doute)… alors merci pour cette générosité blessée (et non pas blessante, comme vous semblez le penser et le répéter sans cesse maintenant : si elle a blessé quelqu’un, c’est d’abord vous. Nous, lecteurs, nous accueillons). Etant moi-même catho et heureux de l’être (ça peut vous paraître paradoxal, cette association du bonheur et du catholicisme… mais c’est pourtant mon ressenti), j’ai reconnu non pas ce que vous qualifiez de réalité catholique mais tous les détournements du catholicisme (bondieuseries, compassion poussée à l’extrême, incompréhension du don poussée jusqu’à l’abnégation et l’angélisme, haine des hommes sous prétexte d’aimer Dieu avec passion, etc.). Vous soulignez une grande vérité : que ce n’est pas la religion qui est la cause des malheurs des hommes et de leur extrémisme, mais bien leur ignorance, surtout en ce qui concerne la question de la foi. Incomprise, la foi donne le pire. Mais, à mon sens, vous omettez de dire que bien comprise, la foi est une source inépuisable de richesses. Je suis d’autant plus touché par votre discours que je suis moi aussi homo et catho… même si je n’ai apparemment pas la même expérience de rejet de l’Eglise (de mon côté, j’ai toujours été accueilli gratuitement par les prêtres et les fidèles catholiques qui m’entouraient – et cela, sans hypocrisie aucune). Je vous trouve très amer, très dur envers vous-même (bien plus encore qu’avec l’Eglise réelle : vous ne parlez pas tant de l’Eglise réelle dans votre livre que de la caricature que vous vous en êtes faite… et que sûrement beaucoup de croyants – qui n’en méritent pas toujours le nom – vous ont présentée) : vous vous qualifiez sans arrêt d’ « impie » (c’est sur la dédicace que vous m’avez écrite… sûrement Dieu est moins sévère avec vous que vous ne l’êtes avec vous-même !). C’est plus votre rapport faussé à la religion (vous parlez à la page 28 d’ « intoxication ») que la religion elle-même que la religion elle-même que vous remettez en cause. Ce que je trouve dommage, c’est que vous amalgamez les deux. Je parle de « rapport faussé » (excusez-moi ces mots un peu directs) parce qu’à mon avis, on ne vient pas à Dieu comme on reste collé à un sein maternel (j’aborde le sujet maternel car vous avez parlé de votre « mère toxique », trop indifférente à votre égard et paradoxalement trop présente), on ne vient pas à Dieu égoïstement, par fuite, par goût du paraître (c. f. votre rapport « cinématographique » et narcissique à Dieu, page 63), pour trouver un refuge aux épreuves de la vie, pour s’oublier afin de se donner en sacrifice aux autres, pour se rassurer (vous comparez Dieu à une « bouillotte », page 71, comme s’il était un objet, une icône, une caricature ; D’ailleurs, vous considérez, page 74, l’amour comme un objet qu’on pourrait enfermer dans un coffre ou un livre…), pour satisfaire une image de Don Juan ou de garçonnet parfait (c. f. page 33, ou page 37), par haine des autres (c. f. page 34 ; haine maquillée à l’âge adulte par un faux pardon saupoudrée d’angélisme dans une prêtrise subie), par angoisse de son unicité (vous parlez de « l’hydre Solitude » à la page 35), par simple « passion » (page 64) ou sur un coup de tête, pour dissimuler le mépris de son propre corps et être : on vient à Dieu quasiment pour rien (l’amour se justifie-t-il autrement que par lui-même ?), simplement parce que c’est Lui, et parce qu’on désire l’aimer comme Il nous aime. Je crois que vous n’avez pas vraiment goûté à la bonne religion, celle qui rend libre. Vous ne connaissez que son absence. « J’avais dit adieu à Dieu, je respirais. Je croyais respirer… » (page 59). Croyez-moi : il est bien plus douloureux de quitter Dieu en l’ayant confondu avec ses caricatures et de s’enchaîner à ce qu’on croit détruire par l’acte iconoclaste, que de vivre libre avec Dieu. Mais ce qui me rassure, c’est que vous semblez rentrer dans une nouvelle phase de votre vie où, comme Jacob hurlant contre Dieu dans le désert, vous vous mettez en chemin vers ce véritable Dieu que vous connaissez si peu, en vous défaisant de tout ce qui était votre foi d’apparat de grenouille de bénitier honteuse de s’être mise en religion pour les mauvaises raisons. Je lis cette purification future – et pleine d’espérance (peut-être ai-je tort… mais c’est comme ça que je le ressens) – dans cette phrase page 86 : « Avant de croire au ciel, pour mieux y croire peut-être, je veux croire à la terre, à la chair, etc. ». Oui, vous avez raison. On ne vient pas à Dieu en se dérobant à la gratuité et à la beauté de l’incarnation christique (même si toutes les incarnations humaines ne sont pas christiques…) : on vient à Dieu par les Hommes, en les aimant le plus justement possible. Alors pour conclure, je crois que vous avez eu raison d’écrire ce livre, de pousser votre gueulante (plus envers l’ancien Michel Bellin que vers Dieu et ses commissionnaires humains) dans la mesure où vous n’avez pas dit votre dernier mot (à Dieu et aux Hommes). Pour ma part, je vous attends avec plus d’espérance. Seul ce qui est rempli d’espérance et de douceur est vrai, au fond. Philippe Ariño (26 ans)
Écrit par Philippe le Jeudi 08 Février 2007.
Commentaire - 7 :Salut Michel et merci pour ton passage et ton message sur mon blog (http://dblog.over-blog.com) Je vais peut-être te surprendre en te disant que mes racines sont fortement ancrées dans la foi chrétienne et que je reste assez attaché à la personne de JC telle qu'elle m'apparaît à travers les Evangiles. Je ne sais pas trop ce qu'est ma foi aujourd'hui, mais j'ose croire que JC boirait plus volontiers un verre avec moi qu'avec les "pharisiens" d'aujourd'hui qui hantent le Vatican. C'est peut-être présomptueux ? @+ et encore merci.
Écrit par Jean le Lundi 16 Avril 2007.
Commentaire - 8 :eh bien bonjour toi ! je te fais ce petit message pour te dire que je souscris avec enthousiasme et curiosité à la sortie de ta nouvelle oeuvre (car il s'agit bien de ton oeuvre, j'en doutes pas !!) je te transmets plein de souhaits de... d'encouragment et de merci ; les félicitations arriveront après la lecture (je ris) je t'embrasse et bonne route a+
Écrit par marie d'a le Mercredi 13 Juin 2007.
Commentaire - 9 :Tout à fait d'accord avec votre avis publié dans le Monde; encore que je ne me résous pas à condamner la prise de visibilité, dans certains pays, de la "gayté". Cela dit, le débat tourne toujours autour de ce que nous sommes (homos) ou de ce que nous faisons (nos pratiques). Par ailleurs, je serai heureux de référencer votre page sur mon blog Les cendres et le plumeau. Au plaisir de vous lire sur papier, cette fois.
Écrit par Hapax le Vendredi 29 Juin 2007.
Commentaire - 10 :Moi je dis qu'il faut lire, pour une fois que la littérature s'allie au panache : Ecoloco, une alter-friction, de Christophe Léon au Somnambule équivoque (éditeur belge, un vrai). Non, vraiment, quand l'écologie rejoint l'art d'écrire on est aux anges... Eric
Écrit par alterecolo le Jeudi 27 Mars 2008.
Commentaire - 11 :Bonjour, Je vs remercie de me contacter pour projet sur votre pièce le duo des ténèbres je suis un comédien de 50 ans (fiche visible sur bellefaye/erik chantry) Cordialement, Erik CHANTRY/HERKENRATH 0614805221
Écrit par ERIK le Mardi 15 Avril 2008.
Commentaire - 12 :Bonjour Je fréquente Loïc, IESHOUA mon Amour. C'est une lecture, danslaquelle je me etrouve. En un mot j'ai moi aussi été séminariste; au sein de "l'institut du Christ Roi souverain prêtre" Le supérieur qui nous recevait 2 fois l'an pour un entretien individuel, sa formule était de me dire: "Vous êtes sur la voie qui vous mèe au sacerdoce" Seulement et cela reste encore pour moi une déchirure le 23 mars 1998, j'étais remercier sans aucun motif et donc d'un séminaire, je terminais ma journée dans ma famille... tout était fini. Aujourd'hui je n'en suis pas remis. Je me fais l'effet d'être comme un monument en ruine, dans un travail que j éxècre et qui me pèse, ...si vous aviez pour moi des pistes je vous serais reconnaissant, car ces Messieurs ne se soucie guère du S.A.V. Pour terminer je voudrais vous demander comment l'on peut se remttre d'un tel séisme. Je vous remercie d'avoir lu ces lignes et si vous pouvez m'apporter quelques réponses à mes questios, à mon dessaroi, je vous serais très reconnaissant François-Yves P.S: je n'ais pu vous faire parvenir ce message par la rubrique "contact"
Écrit par fran&ccedi le Vendredi 25 Avril 2008.
Commentaire - 13 :Bonjour, Depuis 1994, les éditions Scripta sont à la disposition des biographes, écrivains privés et autres « nègres » pour leur permettre d’imprimer pour leurs clients, les livrres qu’ils ont rédigés, sans nombre minimum. En effet, depuis l’arrivée du numérique, nous sommes en mesure de proposer un coût de fabrication très économique, à l’unité, aussi bien pour des documents sans illustrations que pour des ouvrages avec des photos ou dessins couleurs insérées dans le crops du texte ou en cahier(s) isolé(s). Contrairement à la plupart des reprographes, nous ne pratiquons pas le coût forfaitaire par page, mais le coût au réel, en fonction de la consommation exacte d’encre, ce qui permet de réduire le coût d’ouvrages « aérés » ou avec peu de couleurs. Si vous souhaitez davantage d’informations, nous nous tenons à votre disposition pour répondre à vos questions au 02.96.32.66.25. Vous pouvez également consulter notre site internet à l’adresse suivante : http://ediscripta.site.voila.fr. Si vous le souhaitez, nous pouvons vous adresser gracieusement un « memento » que nous avons rédigé à l’attention des professionnels de l’écriture susceptibles de nous adresser des ouvrages à imprimer. Nous restons bien entendu à votre disposition pour répondre à toutes les questions que vous vous poseriez, et nous espérons vous lire prochainement. Cordialement vôtre, Geoffroi Crunelle Editions Scripta
Écrit par scripta le Jeudi 12 Juin 2008.
Commentaire - 14 :Bonjour bonjour, Père enfantin, écrivain De l'ordre des mots, magicien, L'intolérance t'a volé des pages de ta vie, Jadis incompris, Luttes comme tu sais le faire, Pour rendre palpable les rêves que tu pries. Rattrapes le temps qui s'est consumé, Cries et choques de cette façon toujours assumée Inspires au plus profondément de toi Tous les idéaux qu'il te reste Et craches à la gueule, De la belle morale établie, Ce divin principe de liberté, Art de vivre devenu Bible. L.C.www.leloup74.unblog.fr
Écrit par leloup74 le Lundi 01 Septembre 2008.
Commentaire - 15 :Les Ailes de la Volupté L'une des infortunes des pilotes serait qu'ils viennent à survoler la «Blanche» où gravite l'étrange « tête noire », fille aux attributs angéliques, douée d'une puissance de fascination hallucinogène et diabolique. Cette créature ne se contente pas seulement d'attirer les pilotes par ses célestes charmes mais entretient une sorte d'adoration, surveillée qu'elle était par les « Trois Evèchés ». Elle avait l'obsession de la transparence. Simultanément pour ces paranos de l'air amoureux des femmes et des oiseaux, elle charriait les troubles les plus exotiques... Valeureux guerriers sur leurs voiliers des airs, aspirés par une pulsion de rêve. Là ; la féerie commence, le rideau se lève. A la place des gorges qui s'ouvrent et qui débordent de chaque coté, cet Amant pilote dans son délire mystique y voit la métamorphose céleste d'une orchidée sauvage dévoilée de ses sous- vêtement intimes. Mais la beauté ne se laisse telle pas effleurer à travers le voile de maya ? Des failles qui se pavoisent de leurs franges sourcilières et de leurs oriflammes. Ici une « Clue-bouche » avec ses lèvres sensuelles et ses dents étincelantes. Là un «Dôme-menton» arrondi comme une arabesque. Cet amant pilote rivé sur ses commandes poursuit ainsi par la voie royale la déréliction de la cuisse libertine ; étreignant le paysage de ses émotions ; ordonnant une abondante chevelure, luxure et qui plus est que la brise enveloppe délicatement. La danse de Shiva... De là, après tant d'efforts, le pilote monte au dessus de la turbulence dédaléenne, arpente le creux d'un mollet, glisse sur un monticule et aperçoit les troublantes aspérités du jardin des délices qui s'étale à l'horizon dans leurs draperies des grands jours où l'azur déploie ses petits doigts roses. La pente s'offre à lui délicieuse et sismique en quittant la gorge nue. Là , à l'entrebâillement des cuisses qu'il espère hospitalières , il chevauche à toute allure, badin dans le rouge, le sillon central pour venir se raccrocher tant bien que mal aux touffes clairsemées et ruisselantes de « Lure ». Alors sur l'onde majestueuse. L'extase s'installe dans l'absolu de la petite mort. « Désarmé par les strates, il se prend à admirer la délicieuse turgescence du proscenium » L'entrée d'une voie apparemment invisible mène tout droit aux effluves parfumées. Mais la pliure se fait plus rebelle encore. Cirque mystérieux que le pilote appelle abysse. Il n'en doute pas une seconde et doit s'orienter, le compas à la main brandissant sa brûlante torche, lançant son planeur, premier découvreur de la caverne. Oh ! Zarathoustra, l'ivresse, la grande ivresse... Il s'engouffre avec prudence et scrupule, en ressort pulpeux, trempé dans les ondes volcaniques. La vallée bouge et tressaille. Va t-elle s'ébranler à la manière du « Vésuve ». Mais le planeur comme assoiffé, poussé par une puissance décuplée, redouble déjà sa glisse majestueuse. Les derniers lambeaux hyménaux s'épuisent à résister un moment où le congestus s'enfle et s'étale en altitude. Il faut faire vite avant que n'explose par petites gouttes de rosée le musc laiteux et béni. Cime astrale, montagne de lumière sont secoués par l'orage. Alors se produit le dépôt de la substance blanche où suintent les laves séminales de l'étreinte libératrice et humide. Le rêve continu, royal qu'il était, désormais immense et divin. Mais ce n'était qu'un rêve; déjà au crépuscule, le pilote ayant assouvit ses fantasmes adultérins constate que la liberté s'est envolée. Alors le calvaire durera jusqu'à l'aurore… D. B
Écrit par zarathoust le Lundi 30 Mars 2009.
Commentaire - 16 :Le monde a bien changé depuis Vatican II mais je pense que les problèmes liés au monde du sacerdoce ne peuvent qu'empirer. L'homme célibataire et au service de Dieu, même si c'est écrit ou demandé, est une exigence bien trop difficile pour des humains normalement constitués. Les violences de la dernière guerre, provoquées et exécutées en grandes partie par des gens qui avaient été baptisées, démontrent cependant que celles-ci répondaient à des pulsions qui n'étaient pas religieuses. Mais comment une religion pouvait-elle sans arrêt médire des juifs sans qu'un jour un fou se charge d'un projet néfaste en voulant tous les anéantir. Dès que l'humanité se sent instinctivement trop dense (comme dans la deuxième guerre mondiale mais aussi au Rwanda), elle devient folle. Aujourd'hui l'avenir de l'humanité est entre les mains des femmes qui volontairement contrôlent chez nous l'accroissement de la population. Trop de groupes religieux pensent le contraire et préparent les conditions de catastrophes humaines de demain. Je n'ai pas encore lu un de vos livres. ça viendra.
Écrit par Ferchy le Samedi 09 Mai 2009.
Commentaire - 17 :Textes affligeants d'orgueil, d'autosatisfaction, d'ignorance de la vie, de fausses joies, de petite jouissance, absence de simplicité, de nihilisme. L'athéisme est bel et bien un fruit de la volonté, un fruit de révolte, un fruit d'orgueil. Et non comme vous voudriez qu'il soit, pour le bien être de votre conscience, un fruit d'intelligence. Cette intelligence dont vous êtes si fier : quelle petite chose, quel petit outil ! Que peut-on comprendre du monde avec ce petit tournevis, cette petite calculatrice ! Au-dessus de l'intelligence il existe la Lumière. Toutefois, la lumière n'est accessible qu'aux gens humbles et bons. Cette Lumière c'est l'explication de tous les faits qui vous paraissent stupides. C'est niais de faire ceci, de faire cela, ... Tous ces niais sont en réalité des gens humbles qui reçoivent de la lumière des douceurs de coeur des compréhensions, de la lumière et cette vie intérieure d'une immense valeur explique tout ce que vous ne comprenez pas et que vous méprisez. Prions pour que vous fassiez l'effort de la rechercher et que vous renonciez à tout ce mal qui va progressivement vous ronger.
Écrit par bertrand le Dimanche 24 Mai 2009.
Commentaire - 18 :ravie de vous lire (article du monde reçu aujourd'hui par l'alerte google), dont j'ai aimé particulièrement les dernières lignes...) je suis donc allée visiter votre site pour faire votre connaissance, certes partielle, mais... en tant qu'administratrice de l'admd, chargée des la commission d'"ouverture", échanger avec vous sur les thèmes de la fin de vie m'intéresserait beaucoup; si vous étiez disponible pour çà merci d'avance si vous me répondez... jacqueline salenson admd34
Écrit par sonjaline le Mercredi 20 Janvier 2010.
Commentaire - 19 :Michel Bellin, je lis quelquefois vos chroniques dans le Monde et je les trouve nulles. Votre anti-cléricalisme en particulier est pitoyable: on voit vraiment que vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous êtes un petit écrivain mondain, dans l'air du temps, sans aucune envergure.
Écrit par Garry67 le Samedi 13 Mars 2010.
Commentaire - 20 :Merci pour ce site et votre roman. Le mien traite du déclin de la séduction... Odile Lamourère adhérente admd
Écrit par elle le Mardi 20 Avril 2010.
Commentaire - 21 :Salut, J'ai trouvé un article que je trouve assez vrai sur certains points (même si il y a de l'exagération) : http://www.isegoria.org/actualite-societe-politique/remise-en-question-de-linstitution-catholique/
Écrit par Jean-Pierr le Dimanche 24 Octobre 2010.
Commentaire - 22 :Bonjour Michel J'ai bien reçu le message vidéo qui présente la sortie de ton dernier livre. j'ai été fort surpris par la méthode; ému; content; à te regarder et t'écouter t'exprimer. j'apprécie chez toi ta sincérité, ton honnêteté avec toi même. j'apprécie également ton implication dans ta propre vie à mener tes projets... je te remercie pour notre amitié sincère et qui porte toujours la fraicheur de vie à croquer à pleine dents... ton ami B
Écrit par tartine le Samedi 19 Mars 2011.
Commentaire - 23 :Je lis présentement le Manoir de Merval. Quel bonheur que cette découverte sur amazon après avoir reçu ma première liseuse kindle pour mon anniversaire à la mi-décembre! J'ai 45 ans et j'ai toujours été habité par un profond déchirement entre ma spiritualité et mon homosexualité. À son origine, la culpabilité religieuse malsaine bien sûr, mais au-delà je n'ai pas été épargné par un conflit inné entre mes désirs et ma spiritualité personnelle et intérieure, même libérée de toute condamnation morale. Car la culpabilité religieuse n'explique pas tout. Dans mon cas, il s'agit plutôt de deux amours passionnés, l'un avec la chair et l'autre avec le ciel, l'un avec l'ombre et l'autre avec la lumière. Le dogme religieux imbibant l'humanité et déformant tout, Cela m'a pris du temps à comprendre que ce conflit en moi m'appartenait en propre, et de là j'ai pu l'assumer entièrement. Sachant que j'ai deux amours difficilement conciliables (comme la lune et le soleil), je suis à la recherche de l'équilibre par la beauté. Car la beauté intangible, celle des mots, des formes, des sens, de la délectation et des contemplations, rejoint tout autant le sexe que le ciel. M'intéressant aux romans érotiques gays que depuis peu, le manoir de Merval fait exception, me touchant dans mes sens tout autant que dans mon amour pour la lumière. C'est un livre d'une grande beauté, qui me touche et m'apaise dans ce déchirement qui est le mien. Je vous en remercie du fond du coeur. Votre écriture est captivante, en particulier par la liberté qui s'en dégage, et d'où jaillissent les rayons les plus purs et les désirs les plus intenses. Ce mariage entre tendresse et violence illumine votre oeuvre et la rend profondément humaine.
Écrit par Martin le Mercredi 25 Décembre 2013.
Commentaire - 24 :Bonjour Mr. Bellin.J'ai failli me faire avoir par Mme. Raminagrobis. J'ai stoppé à temps la transaction. Mais svp expliquez moi l'arnaque Paypal le bon coin.Pour mes amis philatélistes qui annoncent sur le site le bon coin.Merci d'avance.
Écrit par mbrphil@ le Mardi 31 Décembre 2013.
Commentaire - 25 :Écrivain remarquable qui a le mérite de traiter des sujets avec finesse,délicatesse et humour.j'ai adoré sa plume.Ne pas hésiter à le découvrir il va vous embarquer dans ses histoires de vies et vous ne le regretterez pas.
Écrit par Fran&ccedi le Samedi 06 Avril 2024.